Ma formation
Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts
Unité Pédagogique d’Architecture n° 03
Option 3°cycle acoustique
(directeur de thèse Dan Tatusesco)
Architecte diplômé par le gouvernement
Ma profession
Ingénieur-conseil en acoustique
dans les domaines de la construction et de l'environnement
Mon activité d’expert
Cours administratives de Paris et de Versailles
Cour d’appel de Versailles (Honoraire)
Cour d’appel de Versailles (Honoraire)
Mes charges d’enseignement
Ecole Spéciale d'Architecture (1976 à 1979)
UP3 / Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (1980 à 2018)
Universités de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et de Paris-Sud (2000 à 2018)
Mes missions d’intérêt public
Membre du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France - Référent "Bruit" (1982 à 1997)
Membre du Conseil National du Bruit – Membre du bureau et Référent « Bruit de voisinage » (1982 à 1997)
Mes associations
Membre fondateur et président d’honneur du Collège national des experts de justice en acoustique
Membre du conseil scientifique du Collège des experts inscrits dans les spécialités du bâtiment
Membre du comité des sages de la Compagnie des experts près la Cour d’appel de Versailles
Membre du conseil d'administration de Form'expert
Ma vocation d’architecte remonte à l’enfance; des dessins de maisons tapissaient les murs de ma chambre.
Mon parcours
Ma vocation d’architecte remonte à l’enfance; des dessins de maisons tapissaient les murs de ma chambre.
Le contexte d'un audiogramme pratiqué par le professeur Alfred Tomatis, fondateur de la Clinique du Langage, m'initia dès l'adolescence à l'audio-psycho-phonologie.
J'ai bénéficié de la liberté pédagogique dont jouissaient après 68 les écoles d’architecture, avec une orientation particulière de l’UP3 pour les sciences sociales et l'option originale de 3° cycle en acoustique architecturale dirigée par Dan Tatusesco.
Ma formation d'architecte-acousticien m'a conduit à retenir que la conception de l’habitat relève d’abord de l'humain et que la maîtrise de l’acoustique est indispensable à sa fonctionnalité.
La pratique de l'expertise de justice m'a appris très tôt que le processus de la perception sonore dépasse le cadre quantitatif de l’acoustique et que l’instruction du trouble n’y est pas réductible par suite des effets moteurs du cortex auditif et du facteur essentiel que constitue la signification du bruit.
J'ai approfondi en cure analytique freudienne la nécessaire différenciation à opérer entre la réalité du bruit, les processus projectifs à son endroit et les affects susceptibles d'en résulter.
En tant que praticien du différend sonore, j'observe que la question du bruit de voisinage, dont plus de 30% des Français se plaignent, constitue un réel enjeu dans une société à la fois individualiste et plurielle, où l'autre est perçu comme un étranger, si ce n'est même vécu comme un danger.
J'ai bénéficié de la liberté pédagogique dont jouissaient après 68 les écoles d’architecture, avec une orientation particulière de l’UP3 pour les sciences sociales et l'option originale de 3° cycle en acoustique architecturale dirigée par Dan Tatusesco.
Ma formation d'architecte-acousticien m'a conduit à retenir que la conception de l’habitat relève d’abord de l'humain et que la maîtrise de l’acoustique est indispensable à sa fonctionnalité.
L'assistance de Loïc Hamayon à l'Ecole Spéciale d'Architecture m'a permis d'enseigner dès les années soixante-dix, au-delà des seuls aspects techniques de l'acoustique, la maîtrise des ambiances sonores.
J'ai crée le premier cabinet d'études en acoustique dirigé par un architecte en 1977, à une époque où la France ne comptait encore qu'une dizaine de bureaux d'études spécialisés dans le domaine.
La pratique de l'expertise de justice m'a appris très tôt que le processus de la perception sonore dépasse le cadre quantitatif de l’acoustique et que l’instruction du trouble n’y est pas réductible par suite des effets moteurs du cortex auditif et du facteur essentiel que constitue la signification du bruit.
J'ai approfondi en cure analytique freudienne la nécessaire différenciation à opérer entre la réalité du bruit, les processus projectifs à son endroit et les affects susceptibles d'en résulter.
En tant que praticien du différend sonore, j'observe que la question du bruit de voisinage, dont plus de 30% des Français se plaignent, constitue un réel enjeu dans une société à la fois individualiste et plurielle, où l'autre est perçu comme un étranger, si ce n'est même vécu comme un danger.
En ce sens l'éducation à l'appréhension du bruit et au partage de l'espace sonore, comme moyens de redonner du sens au vivre ensemble dans la cité, relève bien, au-delà de la préservation de la santé, d'une préoccupation politique majeure à laquelle chacun peut contribuer ; à commencer par un acousticien ...
Parmi mes réalisations ...
